Aujourd’hui, le beau temps ne souriait pas, mais je m’efforçais malgré les temps de pluies de garder le sourire. Le changement climatique c’est pas drôle, mais c’est ainsi. Cependant, j’y allait pour faire mes courses pour Yule et dans mon entourage qui eux fêtes Noël, j’ai penser faire le tour des magasins pour leur faire des cadeaux. Cadeaux qui seront fait de mes soins, mais que je me procure le matériel pour les réaliser. Dire qu’avant de devenir pharmacien et conseiller des esprits, j’avais tout mon temps pour faire le matériel et les cadeaux, maintenant, c’était à oublier. Soupirais-je avec cette penser. Oh! Il faudra aussi que je me procure mes lumières de luminothérapie! Je ne dois plus y passer à côté dorénavant!
En revisitant ma liste de course dans ma tête au centre commerciale, il semble avoir que quel rabais ici et là, dont des promotions de voyage, de luminotherapie, super! Mais aussi des cadeaux pour des amoureux.
« Ohé charmant grand monsieur, vous devez sans doute vouloir acheter un cadeau pour une fille?
En me disant ça, je pensais tout de suite à ma petite Naja. Sur quoi, je souris :
« C’est vrai, bien que ce soit aimable à vous mademoiselle, j’ai déjà mon idée de cadeau pour elle, c’est gentil de proposer~
J’allais passer outre, mais elle me barra le chemin et bien qu’elle soit bien minuscule en comparaison de mon 1m90 et commençait à débiter sa promotion que j’avais bien du mal à lire sur ses lèvres. Pas que j’y prenait grande attention non plus. Cependant, je ne suis pas particulièrement doué pour dire non ou m’enfuir quand même la pauvre elle pourrait se sentir blesser. Donc j’attendais patiemment.... certains dirait "trop" patiemment...
Parlant de s’enfuir, je m’égare dans mes pensées brièvement en voyant un visage à travers la foule me rappelant que lorsque ma marraine et moi nous nous enfuyons constamment des guerres et des guerres civiles européennes qui éclataient un peu partout, même si j’insistais de rester pour guérir les blessés, ou bien guérir les premières éclosion de la grande peste, et à l’occasion de me procurer de l’opium dans le chaos... Quel drôle d’effet de déjà vu, au moins ce n’est pas celle de cette atroce première guerre mondiale... Oh! Tiens il se rapproche... c’est peut-être le descendant d’un visage familier que j’ai rencontrer durant ma longue vie? Pas que ce soit la première fois que je sois frapper par la ressemblance que les humains pouvaient avoir avec leurs ancêtres et leurs descendances qu’importe les génération qui sépare les deux. S’il vient, je remercierai la déesse d’avoir envoyer cette âme me délivrer de miss promotions pour couple...
Prijan avait travaillé pendant toute la semaine, il avait réussi à avoir une journée de repos, même s’il ne faisait pas très beau, mais il décida de sortir un peu.
Peut-être que le vampire allait trouver une jeune demoiselle, il voulait bien trouver l’élu de son cœur…
La femme qui voulait avoir un hébergement n’a pas eu de réussite, alors il n’a pas pu faire sa bonne action, ce qu'il devait faire, il réfléchit en marchant tranquillement.
Il regarda le monde réunis pour faire des achats, il n’était pas trop à vouloir se réunir avec d’autres personnes.
L’homme marcha un moment avant d’entendre une femme crier, il la regarda en riant légèrement, il était sûr que cette personne n’avait aucune chance de rentrer dans ses critères…
Le vampire soupira en se disant que ce n’était pas aujourd’hui qu’il allait tomber sur la perle rare, avant que voir une personne…
Il avait une impression de déjà vu… C’était vraiment étrange, il s’approcha de la personne qui le regarda aussi.
- Bonjour, j’ai l’impression de vous avez déjà vu ailleurs ?
Il était un peu déçu que ça ne soit pas une femme, mais ça sera pour une autre fois.
Oh-oh... ces mots venant d'une bouche humaine ce n'est pas de très bonne augure pour un autre. Que ce soit moi, ou n'importe quel autres. Du moins, le blond avait l'air humain malgré sa ressemblance frappante avec un de ses ancêtres, probablement? Quoi qu'il en soit, ce n'était pas la première fois que ça m'arrive; je gère la situation. Étant donné le pétrin dans lequel je me retrouve, je vais en profiter pour me semer la confusion chez lui et tout en me sortant de ce piège que peu apprécie : la vente à pression! Alors, je l'observe un moment confus, prennant une pause avant qu'un soudain eureka me prenne.
« Oh! C'est vrai? Hmmm... Maintenant que vous le dites... Ah oui! Je crois que ça me reviens! Si on rattrappait le temps perdu mon bɛlami?
Je me fiche éperdument comment on interprète mes derniers mots! Si ça impliquait que je flirtais en disant "mon bel ami" ou bien que je lappellais par son prénom "mon Belami". Bien que je suis plutôt sur que ce ne sera pas son prénom. Je l'attrape par son épaule pour nous faire fuir de ces vendeuses harcellantes!
« Je vous souhaite la bonne journée mesdames.
Lançais-je avant de prendre congé avec le blond. Cependant, d'aussi près de cet humain, il a du remarquer mon parfum floral bien particulier. Une odeur qui, je l'ignorais encore, lui semblerait fortement familier. Par ailleurs, on dit souvent qu'il était plus aisé d'éveiller la mémoire par le sens odorat plus que les autres sens. Une fois mêler à la foule et suffisement éloigné. Je libérais son épaule de ma main et échappa un soupire.
« Ouf, ce n'est pas croyable comment les commerces sont désespérés à cumuler les ventes en cette période de l'année pas vrai?
Rigolais-je. Avant de revenir à son questionnement, car fuir l'interrogation ne serait qu'un peu plus suspect aux yeux d'un humain.
« Cela étant dit, je crois vous avoir déjà vu moi aussi. Bien que c'est un peu normal en tant que pharmacien, je vois plusieurs têtes passer pour se soigner. Autrement, je suis navré, mais je ne crois pas me souvenir de vous... Où croyez vous m'avoir vu?
Ce que je ne pensais pas, c'est que nous nous étions effectivement vus. En bretagne bien des siècles avant aujourdh'hui moi et ma marainne nous fuyons les guerres et la grande peste qui s'était étendu sur tout l'europe. Un cocher nous avait arrêter sur son chemin. Conaissant notre réputation, il nous avait demander de guérrir ses collègues au manoir. Nous étions des apothicaires ambulants à cet époque. J'acceptais bien que ma compagne n'était pas d'accord, mais elle fini par se laisser convaincre car cette nuit là, il nous était impossible de trouver un logis pour passé la nuit. Nous avions été acceuillis pour soigner plusieurs malades, de la noblesses à leur employers, dont un couple qu'hélas au bout d'un mois nous n'avons rien pu faire poir les sauver... J'avais eut tant de mal à annoncer cette infortune à l'homme qui était lier à ce couple... C'était même Hel, ou plutôt "Solanacé" qui lui avait annoncer la dure vérité. À cette époque, elle et moi, nous étions inséparable. Jusqu'à aujourd'hui où je suis dorénavent seul et elle ne m'accompagnait plus... Il a dû plus se souvenir d'elle que de moi, enfin, peut-être?
Prijan le trouvait trop familier, il c'était simplement trompé en pendant que l’homme était une femme…
Il était froid et distant avec l'individu… Il était surpris d’être pris par l’épaule, il trouvait ça déplacer, il prit le bras de la personne ne la retirant doucement en lui suivant…
Il trouvait les femmes insupportables, mais l’homme était tellement familier et étrange, ça l’avait refroidi, il le voyait rire, le jeune homme resta de marbre...
- C’est normal, noël est une fête qui représente tellement de chose...
Il était impatient d’être à la messe, car c’était important pour lui, il espérait que l’année prochaine, il trouvera une femme !!! Il était un peu perdu dans ses pensés avant d’entendre la personne qui voulait savoir où il l’avait vu...
- Je me suis trompé de personne, car j’ai cru que vous étiez une femme… Mais peut être qu’on, c'est vu à la pharmacie...
Le jeune homme soupira avant de se gratter la tête...
Hm? ... Vous dites? ... Une froideur? Mais quelle froideur? Bah peu importe! Tout ce que je voulais m'assurer c'est que cet humain n'en sache pas trop. Après tout, il était de mon devoir de s'assurer que les deux mondes co-existent en toute ignorance des deux opposants; le monde des humains. Hmmm... Peut-être l'ai-je brusquer tout à l'heure? Je l'ignore! Enfin, j'espères qu'il me pardonnera cet accro, je n'ai pas pour but de le faire sentir mal à l'aise, tout le contraire! Par ailleurs, il semble confirmer ma remarque au sujet des ventes et je ne sais comment je m'en suis apperçu, mais sa petite croix qu'il portait à son cou me semble que soulever l'importance de cette fête pour cet homme. Crétien ou catholique? Mystère, même si j'ai du mal à comprendre pourquoi cette religion semble avoir dominé le monde et par conséquent dites comme était la vraie et unique voie alors qu'elle n'est point européenne, mais venait d'une autre contrée bien loin de la leur? Mais bon, après tout, si la généralité de la population mondiale repose leur religion sur le christianisme ou le catholicisme c'est que ce Dieu doivent les interpeller plus que d'autres? Qu'en sais-je réellement si je n'ai été témoins des croisés fait au nom de ce Dieu là, bien que contracdiction aux valeurs fondamentales de cette même croyance. M'enfin, en ce qui me concerne je ma dévotion ne va qu'à la Déesse et parfois le Dieu cornu. Telle est ma foi. En réponse, je souris.
Bien que mon sourire pris une autre tournure en écoutant sa description, tout en n'ayant pas le courage de me regarder en face, je pris un air désolé réalisant sans doute de qui il faisait mention... Désolé qu'il ne sache pas encore qu'il avait perdu une amie, si, toutefois, il s'agit bien d'elle. Une grande femme aux airs nordiques similaire à moi? Une interminable crinière blanche? Une peau pâle et laiteuse? Vue à la pharmacie? Il n'y a qu'une seule personne pour moi qui puisse correspondre à tous ces critères, s'il ne s'agissait pas de moi.
« Oh... Vous étiez une connaissance de Pharmacienne Solanacé peut-être? Solanacé Thrasir? Je suis au regret de vous annoncer qu'elle n'est plus des notres depuis 5 ans déjà...
S'il semblait confus de savoir de qui je parlais je sortis mon téléphone et fouillait pour des photos de 2016. C'était ses plus belles photos avant son départ, je ne l'avait jamais vu aussi rayonnante que lors de ses derniers moments. Autrement, elle avait toujours cette bouche neutre sans sourire, ses yeux emplis de douceur, mais qui cachait mal sa mélancolie profonde. Je le retourne à sa hauteur des yeux pour qu'il puisse la recontempler si c'était d'elle qu'il parlait. Je tapote l'écran doucement en direction de la jolie femme qui ne souriait pas à mes côtés, contrairement à moi qui était tout sourire et avait une main amicale sur son épaule et l'autre en symbole de "peace". Si je continuais à tourner les photos on en tombait sur une autre d'elle et moi. Moi en arrière plan qui m'occupais de mes plants sans me rendre compte qu'elle prennait une photo et elle qui se prenait en selfie avec ce léger sourire. Un sourire qui rapellerait le sourire de Monaliza de la peinture de Da vinci. Celle-là même! D'Ailleurs je ne m'en appercevait pas, mais peut-être n'avais-je qu'emplifier cette impression de déjà vu, il ne devait quechanger nos vêtements pour une époques et le tour était jouer! Récupérerant mon portable après qu'il ait regarder ces quelques photos j'avais cet air nostalgique... La parfaite harmonie entre joie et tristesse. Cela ne me rappellait à quelle point Hel me manquait terriblement... La femme qui a sut veiller sur moi de ma vie humaine jusqu'à il y a si peu... Plusieurs me dirait que je l'avais aimer. Oui c'est vrai je l'ai aimer, mais contrairement à la croyance populaire ce n'était pas de l'amour eros, mais bien un amour storgé.
« J'aurais tant souhaiter qu'elle vive encore de longues années de bonheur, ce ne fut pas le cas. Que son âme puisse être en paix aux côtés de la Déesse...
Je fermis les yeux pour un moment de silence portable sur le coeur. Si on regardait attentivement j'avais aussi un pendentif symbolisant trois phases lunaire, symbol de la Déesse sous toutes ses formes. Symbole que j'étais aussi un dévot d'une différente religion que le blond qui se tenait devant moi. Je le regarde à nouveau et lui demande :
Prijan n’aurait peut-être pas d’aller vers cet homme, il resta froid sans rien dire avant de regarder l’homme qui lui parlait d’une pharmacienne…
L’homme ne connaissait pas trop le nom, il ne se rappelait plus des femmes qui étaient surement des potentielles femmes. Si la personne allait refuser, il l’oubliait à jamais…
Avant de voir la photo, il se rappelait de la jeune demoiselle, il discutait avec lui parfois, mais il savait que ça n’aurait pas été une bonne épouse en ayant compris que cela ne l’intéressait pas…
C’est dommage de mourir, mais le jeune homme a connu la fin de sa vie humaine quand il était jeune avant de devenir un vampire en vivant depuis un moment… Il laissa la personne terminée de parler avant de lui répondre.
- Je l’ai connu un moment, mais on n’était pas proche… toutes mes condoléances. Après la mort est parfois plus douce de vivre une vie très long en souffrant de la mort de ses proches...
Le jeune homme était toujours triste de la perte de sa première et de ses autres femmes… Il les a aimés, le jeune homme sentait un vide en lui, le vampire voulait avoir une femme...
- Sinon c’était votre femme ? Donc c’est vous qui aviez repris la pharmacie, mais ça fait depuis un moment que je ne suis pas allé là-bas...
Il regarda le ciel un moment en fermant les yeux avant de les ouvrir en observant son interlocuteur.
-Donc vous êtes venu faire des courses pour cette période ?
Il la connaissait en effet, mais seulement à titre de connaissance devinais-je. Comme je le pensais, cela m'aurait bien étonné qu'elle se laisse approcher de trop près encore moins par un humain. C'était tout elle ça... Cependant, j'entendais de la lourdeur dans ses propos et je ne peux pas dire que je suis d'accord avec ses propos, même si nos vies, nos peines nous paraîsses parfois interminables, humains, comme autres... C'est pourquoi, je me permets alors de partager ma vision plus positive, en espérant que ça chasse cette pesanteur.
« Je ne penses pas que la mort soit préférable, même si leur absences nous peine beaucoup et que nous aurions souhaiter être à leur côtés. Au contraire, je penses que ces défunts qu'on n'oublira jamais nous font rappeller combien il faut profité du cadeau qu'est la vie avec le peu de temps qui nous est aloué. Ce genre de dévotion ne pourrait que les rendre fiers.
Terminais-je avec un sourire radieux. Cette pensée je m'efforçais de me le rapeller à chaque fois que je perdais un être cher durant mes sept siècles d'existance. Ou lorsque leur image et ce sentiment de manque me saisi. Rapidement, je fus estomaquer par une remarque et aussitôt je rigolais doucement. Combien de fois on nous avait confondu pour un couple elle et moi? Je ne les compte plus! Cependant, je trouvais cela toujours aussi hilarant. C'était comme si on me demandais si j'étais marié à ma mère puisque c'est elle qui ma élever d'aussi longtemps que je me souviens.
« Bien que ce ne soit pas la première fois qu'on me le dis, Solanacé n'a jamais été ma femme, mais, oui, j'ai repris la pharmacie pour elle, c'était dans ses dernières volontés.
Ensuite, il me demande pour les courses j'hoche de la tête vivement, bien que je fêtais Yulle, je sais pertinament que les gens eux fêtait Noël. Il me rappella combien j'avais hâte de fabriqué mes cadeaux et les donner à mon entourage!
« Tout à fait! En ce qui me concerne, je suis à la recherche de matières premières pour fabriquer mes cadeaux, si je n'avais pas autant de responsabilités et plus de temps j'aurais tout fait moi même, et vous? Faites-vous vos courses également pour les fêtes?
Avouais-je me grattant la joue quelques embêtés par mes responsabilités. Cependant rien que de songé à faire cadeau ou attendre la réponse du blond prouve que même à cela, rien ne mina ma soudaine bonne humeur.
Prijan l’écouta attentivement en étant toujours froid, mais il n’allait pas partir, car ça ne serait pas respectueux.
C’était ennuyant de philosophé sur la mort, il avait vécu tellement de siècle, il avait vu tellement de personnes mourir, après il fallait se rappeler d’eux, c’était quelques choses d’important.
Il hocha la tête en apprenant que l’ancienne propriétaire n’était pas sa femme et cet homme avait repris la pharmacie.
- Oh d’accord, je vois.
Donc l’homme était venu faire les cours, il faisait un tour en repérant les lieux s’il pouvait trouver une femme. Après il n’avait pas de cadeau à acheter, car il vivait tout seul...
- Je me balade au juste pour voir les marchandises dans les stands. Sinon j’étais occupé par des choses qui ne vont vous ennuyer, après la chasse n’a pas été fructueuse...
Il allait passer la fête tout seul sans une femme à ses côtés, il était tellement triste et désemparé…
- Bon, vu l’heure je vais aller manger, enchanté de vous avoir rencontré.
Bien qu'il écourtait je le sentait distrait. L'aurais-je mit mal à l'aise? Si c'est le cas j'en suis désoler pour lui... J'oublie vite son malaise et me dis des enchaînement de mots qu'il ne fallait aps me dire : "j’étais occupé par des choses qui ne vont vous ennuyer''. Quels choses? M'ennuyer? Ça monsieur! C'est mal me connaître~ Du coup je me lance à développer un peu ces mystères qu'il vient de mettre au tapis. En tout cas si c'était une stratégie pour m'éloigner ce n'était pas la bonne... Que voulez-vous je m'intéresse au gens... Sans doute au point qu'on peut parfois considérer cela comme un défaut.
« Des détails qui m'ennuierai? Bien au contraire! Je voudrais bien savoir ces dites "choses" qui vous préoccupe et qu'entendez vous par "la chasse n'a pas été fructueuse"? Si ce n'est pas trop indiscret, bien sûr.
Bien que je le demande, s'il choisi de faire planner le mystère, je n'insisterai pas. Car peut-être qu'il ne voudra pas les partager avec moi, même si d'une certaine mannière je penses sincérement qu'il voudrait en parler, mais qu'il était sans doute trop réservé pour le faire. Soudainement, après avoir dit cela, je m'arrêtais devant une affiche que je voyais chaque année en saison hivernale. Une affiche de speed-datting.
« Oh regardez, du speed-dating, comme à chaque année en faite, j'en ai si souvent entendu parler de cette charmante activité, mais je n'ai jamais osé y aller seul ou accompagner d'amis pour que ce soit moins malaisant. *Soupire* J'aurais dû oser avant d'avoir autant de responsabilités sur les bras... Tant pis pour moi je supposes.
Dis-je un peu avec regret. Sinon, pourquoi je n'ai jamais osé? C'est très simple. Bien que je n'en n'est pas l'air, j'adore draguer, c'est un jeu que j'adore m'y soummettre et me faire draguer en retour dans le même but est très amusant. Et c'est bien ça le problème, ce qui est pour moi un jeu, ne l'est pas forcément pour la personne que je courtise. On pourrait me prendre facilement "trop" au sérieux et ces pauvres jeunes gens pourraient désirer aller plus loin, là ou je ne peux les suivres... Lorsque cela arrive, eh bien... Aussi embarassant que ce le soit de l'admettre, je me refroidi bien vite et je prend la poudre d'escampette! Quitte à brisé leurs coeurs au passage alors que ce n'était pas voulu!
Sinon le blond me rappella l'heure et qu'il ira manger visiblement seul. Je suppose qu'il veut vraiment partir sans moi dans les pattes? Bon puisque c'est ainsi je continu malgré tout de lui sourire lui disant d'un air compréhensif :
« Pareillement~ Bon alors je vous souhaites un bon dîner et de joyeuses fêtes!
C'était ainsi que nos chemins se séparaient je suppose? Dans tous les cas, je réussirai à trouver ce que je cherchais! J'ai trop hâte d'offir mes cadeaux à Elio, Naja et compagnie!
Prijan l’écouta attentivement en hochant la tête, après que l’homme lui montra un speed-dating. Le jeune vampire avait entendu parler de ce genre de choses, mais cela ne l’intéressait pas, car il trouvait que ça ne respecte pas les principes du romantisme. Il avait accepté des changements, mais au niveau des sentiments et des rencontres amoureuses.
- Je trouve que c’est trop commercial, ça fait comme si on est des objets commerciaux.
Il baissa son chapeau en faisant un léger sourire.
- Merci, à vous aussi bonne journée.
Il le quitta avant d’acheter quelques choses et il rentra chez lui.
