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Divinadell - Celeas De Mendoza

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Atrawu
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Messages RP : 5
Dim 25 Juil - 20:44
Celeas De Mendoza

Divinadell

Âge :

346 ans, semble en avoir 26

Date de naissance :

10 Novembre 1675

Race :

Vampire

Genre :

masculin

Préférence sexuelle :

Bi

Occupation :

Manager et garde du corps de Liya Mei

Avatar :




Code:
<b>Vampire</b> de <i>Victoria Francès</i> :: Celeas De Mendoza


Description


Celeas a gardé son corps de jeune homme. Les cheveux noirs de jais, des yeux d’acier, une peau très blanche et de légères cernes noirs qui réhaussent son regard. Il mesure un mètre quatre-vingt-dix et possède un corps athlétique. Ses canines sont dissimulées par ses lèvres sans difficulté mais lorsqu’il sourit on voit qu’elles sont légèrement plus longues que la moyenne.
Celeas a développé un caractère manipulateur avec le temps. Il a tout appris de son créateur sur ce point. Personne ne touche un cheveu de Liya sans qu’elle soit consentente, il peut entrer dans une rage meurtrière si tel est le cas. Accro au sang de la sirène, il ne l’admet cependant pas de vive voix. Il garde de son enfance des manières légèrement aristocratiques qui transparaissent dans ses gestes, comme une seconde peau. Il n'en a pas conscience.

Histoire


Alors que le Roi Charles II entame son règne sur l’Espagne en l’an 1675, un garçon né dans une famille de petits nobles. Il se prénomme Juan De Mendoza et est le dernier nez d’une fratrie de cinq enfants. Ses parents désespéraient d’avoir un garçon jusqu’à sa naissance et il restera le seul mâle de cette génération. Il n’a pas eu une enfance difficile en soi, choyait autant que l’on pouvait l’être, ne manquant de rien, sa vie s’écoulait calmement au possible.
 
Ce fut lorsqu’il atteignit ses 25 ans. Malgré des pressions de la part de son père pour qu’il choisisse une épouse et donne une descendance pour perpétuer le nom de sa famille, Juan reste sur ses positions et s’y refuse. Ce fut une dispute qui n’eut pas le temps de dégénérer complètement mais son père restait inflexible : il se marierait quand tout cela serait plus calme. En effet, la mort du roi Charles II les préoccupa bien davantage ; surtout la décision de qui sera son successeur entre Philippe D’Anjou et Charles De Habsbourg. Juan profita de cette accalmie pour s’éloigner de cette famille qui lui imposait quelque chose pour la première fois de sa vie. Enfant gâté et aussi libre qu’il l’entendait, Juan partit un beau jour sans prévenir qui que ce soit. Il voulait découvrir le monde, au-delà de son pays. Sachant que son père refuserait de subvenir à ses besoins à moins qu’il ne prenne une épouse, il décida de partir purement et simplement du giron familial.

Il s’agissait là d’un caprice de plus de sa part mais le jeune homme ne le voyait pas ainsi. Les premiers jours se passèrent relativement bien. Il profita de cette totale liberté et écuma les lieux de plaisir, dormant dans les auberges assez luxueuses que lui permettait sa bourse. Mais toute bonne chose a une fin. Très vite, l’argent vint à manquer et il découvrit que son nom n’ouvrait pas forcément toutes les portes, surtout lorsqu’il ne pouvait pas payer directement. Un soir, alors qu’il était parti depuis un peu moins d’un an, il tomba pour la première fois sur un aubergiste qui lui refusa son établissement en prétextant qu’il était déjà plein. Ce n’était pas le cas, Juan s’en aperçu lorsqu’il vit des voyageurs arriver plus tard dans la nuit. Décidant qu’il devait donner une leçon à cet homme, il se faufila à l’intérieur par une fenêtre et fureta jusqu’à le trouver.
 
Il n’eut pas le temps de faire quoi que ce soit et se figea devant une scène pour le moins insolite. Les convives qui étaient arrivés plus tôt étaient attablés et, sur cette même table, se trouvait une femme nue, attachée les bras et les jambes écartelés. On lui avait mis un bâillon et un bandeau sur les yeux. Hypnotisé par cette vision, il n’osait même plus respirer. Que faisaient-ils exactement ? Quelque chose au fond de lui lui souffla de ne surtout pas se faire repérer. Cette scène n’était pas saine et il n’aurait jamais dû y assister… L’aubergiste se tenait dans un coin de la salle et fixait la scène lui aussi. Il y avait comme de l’avidité dans son regard mais Juan ne put expliquer la raison de cet éclat.
 
Elle est à moi.
 
L’un des hommes présents tourna le regard vers l’hôte et lui adressa un large sourire. Celui-ci fit frissonner Juan lorsqu’un croc apparut à la lueur de la lanterne, plus aiguisé qu’il n’aurait dû l’être.
 
Si elle survit seulement.

Ces quelques mots furent murmurés d’une voix étonnamment douce qui fit remonter un frisson le long de l’échine du jeune homme. Sur un signal de celui qui venait de parler, le deuxième voyageur se pencha sur la jeune femme et huma son parfum avant de la mordre violemment, la faisant sursauter. Juan lui-même ne put retenir un mouvement de recul et bouscula un siège qui grinça sur le sol derrière lui. Il voulut prendre la fuite mais se retrouva nez à nez avec l’homme qui venait de parler. Figé, il se perdit rapidement dans son regard hypnotique et n’entendit plus que sa voix, oubliant que juste derrière lui, une femme se faisait saigner.

Tu ne devrais pas être ici. Mais comme tu es plutôt bel homme, je vais t’apprendre quelques petites choses. Viens avec moi…
 
Juan ne se fit pas prier et le suivit sans une once de prudence. Il ne savait pas où il allait, ses jambes avançaient d’elles-mêmes, sa réflexion l’avait désertée, seule une petite part d’instinct remuait au fond de lui mais il l’ignora totalement, ne voulant pas s’y attarder. Personne ne les retint ni ne dit rien. Juan suivit l’homme, comme un papillon attiré irrésistiblement vers la lumière et ils se dirigèrent vers la chambre que le voyageur occupait…

Juan ne sut pas combien de temps il s’écoula, il n’avait conscience de rien durant plusieurs jours. Il était totalement à la merci de cet homme. Où qu’il aille, le jeune homme le suivait. Quoi qu’il lui demande, il le faisait. Cela dura plusieurs mois. Des mois durant lesquels Juan perdit son identité propre et n’était plus que l’ombre de lui-même, ou plutôt l’ombre de son maître. Ce fut à l’aube de son vingt-sixième anniversaire que le changement eut lieu. Un changement brutal et radical. Une nuit, alors que le jeune homme était dans la couche de son amant vampirique lorsque les chasseurs débarquèrent dans l’auberge où ils se trouvaient. Des éclats de voix et des bruits d’altercations les tirent de leur torpeur. Le vampire attrapa Juan et l’extirpa du lit en l’envoyant devant lui vers la fenêtre.

Dépêche-toi ou tu vas mourir, et moi aussi.
 
Cela suffit à faire réagir le jeune homme qui passa par la fenêtre, gardant sa culotte et sa chemise sous le bras pour sauter sur le toit, bientôt suivit par son maître. Ils coururent se mettre à l’abri dans une grange pour s’habiller rapidement et volèrent des chevaux pour s’éloigner au plus vite des chasseurs. Ils fuirent plusieurs jours avant de finir par s’arrêter dans une forêt pour camper. L’humain regardait son maître sans un mot, grelottant de froid.

Je vais te faire un cadeau. Probablement deux, si tu survis au second.

Pourquoi ?

Parce que tu apprends vite et que tu ne m’as jamais déçu. Allonge toi et ne bouge pas, quoi qu’il arrive.

Le jeune homme obtempéra et prit place sur une couverture. Le vampire s’approcha de lui et lui caressa le visage avec douceur.

Maintenant, ton nom sera Celeas. Mon maitre m’a donné ce nom avant de me faire le même cadeau que celui que je m’apprête à te faire. Celeas De Montoza. Ferme les yeux et survit.

Celeas ferma les yeux. Il savait ce qui l’attendait, il avait vu les autres faire et savait que c’était dangereux et douloureux dans certains cas. Mais son maître avait une autre idée en tête. Le jeune homme ne s’attendait pas à ce qu’une nuit de plaisir précède à sa transformation. Juste au moment de l’apogée de son plaisir, il ressentit la morsure qui allait changer sa vie à jamais…

Quelques années plus tard…

Depuis cette fameuse nuit, Celeas avait changé du tout au tout. Il était loin le petit humain craintif et soumis à son maître. Son maître, justement, avait disparu dans la nuit pour ne jamais revenir. Plus tard, il apprit que celui-ci lui avait sauvé la vie en attirant les chasseurs à lui et qu’il avait péri sous leur joug. Il n’avait pas compris pourquoi il avait fait cela et se posait encore la question chaque fois qu’il pensait à lui. Il avait survécu à la transformation et aujourd’hui il parcourait le monde au gré de ses envies. Son passage avec son maître lui avait appris beaucoup et tout ce qu’il avait entendu il l’avait retenu. Son esprit était devenu plus calculateur et il avait trouvé un certain plaisir à manipuler les gens.

Ses pas le menèrent dans différents pays mais il finit par revenir sur le continent européen dans les années 1930. Il avait alors 255 ans. Un soir, alors qu’il profitait d’un spectacle qu’il trouvait particulièrement alléchant, surtout pour sa soif qui était réveillée, il vit la chanteuse sur scène et décida d’attendre qu’elle termine son spectacle avant de se servir un petit encas. Il la suivit lorsqu’elle s’en alla de l’hotel. Alors qu’il s’apprêtait à s’occuper d’elle, il fut devancé par un autre qui sauta sur la femme. Celeas était assez territorial lorsqu’il était question de son goûter et il n’apprécia pas qu’on essaie de lui voler. Il intervint pour sauver la demoiselle, non par bonté d’âme mais bel et bien par intérêt. Il connaissait le risque de boire le sang d’une sirène mais se pensait assez fort pour résister. Que nenni. Dès le moment où il goûta son sang, il fut perdu. Il avait compris dès que la première gutte de son sang avait touché sa langue qu’il lui fallait trouver un moyen de la garder. Quel meilleur moyen que de lui proposer une protection, des cachets réguliers et plus si affinité, ce dont il ne doutait pas. L’un comme l’autre avait un certain charme qui agissait sur chacun de par leur nature qui les emprisonnaient.

Détails


Celeas déteste cet attachement malsain avec Liya.
Il ne donne jamais son véritable âge ni son nom de naissance. Liya elle-même ne le connait pas.
Il vit aux côtés de la sirène à Kestroban.
Casser des têtes, Celeas n'est pas fan, mais il n'hésite pas à le faire si nécessaire, surtout lorsque cela concerne sa protégée.
Le vampire aime jouer aux échecs, la stratégie de ce jeu lui plaît beaucoup.
De son passé de petit noble, il a gardé des goûts raffinés pour les belles choses.
Il aime aussi l'art dans son ensemble et s'intéresse aux peintres en général, même si ses goûts s'orientent vers les représentations plutôt sombres et chaotiques.

Opinion sur les Autres


Humains :

Miam.

Sorciers :

Mieux vaut les éviter

Vampires :

Ses semblables, il n’a pas vraiment d’opinion sur eux.

Loups-garous :

Des toutous sauvages et sans manières

Sirènes :

Une lui suffit amplement, merci.

Esprits :

N’en a pas croisé ou ne s’en souvient pas.



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