Divinadell :: Eden Virtanen

Je reviens d'un autre jour écarlate de tuerie... Tuerie qui avant m'aurait terrorisé.e, fait régurgité.e, tremblé.e, nourrit mes plus sombres cauchemars, dégoûté.e... Ce que je ressens aujourd'hui, je ne peux pas me permettre de la ressentir. Je me dois de la mettre en bouteille espérant qu'elle se noie avec toutes les autres émotions en bouteille que j'accumulais dans mon cœur depuis tout ce temps jusqu'à maintenant. Mais, si je me devais d'être honnête, ces crimes me rendent tout simplement triste. Face à cette tragédie, pour eux comme pour moi. Pourquoi dois-je le faire? Qu'est-ce qui me pousse à commettre ces crimes? Eh bien, à dire vrai, rien. Je peux toujours refuser obstinément comme avant, lors de mes jeunes années, enfin si je souhaitais subir d'atroces souffrances cela dit... Je n'avais d'autres choix que de me montrer docile. Cependant, ce dégoût du monstre que je suis devenu.e, je le ressentais à chaque fois. Chaque fois que je toisais sévèrement mon propre reflet à l'entrée, détaillant ma stature monstrueuse ensanglantée du sang de ma proie qui me couvrais de la tête aux pieds. Mon uniforme de chasse, blanc comme neige, n'était là que pour accentuer le pourpre qui me couvrait de honte. Bien que les chasseurs de Lumini Templars et ma génitrice ne partageaient en rien ma honte. Cette répulsion, je ne réussissais jamais à la repousser et je baissais la tête n'osant même pas affronté mon regard épineux et critique sur ma personne. Des prunelles qui ont finis par passer du vermeil au triste azure abyssal que sont mes iris. Pourtant les inconnus, eux, étaient éperdument fascinés par mon regard malgré sa froideur, se perdant dans l'abysse de mon regard qu'ils me décriraient comme étant mystérieux.se... Me rappellant combien je détestais les mirroirs! Mais elle, elle y tenait justement à les placer à l'entrée des quartiers généraux justement parce que je les méprisais...

Dans ma démarche, je ne devais pas exposer mes pas alourdis par une fatigue que je devais réprimer, elle aussi. Aussi pesante soit-elle. Lorsque les regards se braquaient tous contre moi. Je les entendais, rire, se moquer, me juger, me passant des remarques qui ne méritaient pas d'être entendus. Pourtant, je les entendais, incessamment, me donnant une irrépressible envie de souhaiter être sourd, et même aveugle parfois... Leur esclave monstueux.se ayant enfin passé leurs chemins, je ne pouvais pas échapper à elle! J'étais forcé.e de m'arrêter et de ne pas l'ignorer.

« Bonsoir petit monstre, je vois que la chasse a été bonne! M'en voilà très heureuse! Tiens j'ai un cadeau pour toi. Ton préféré, du O+

Elle me tendait un sac de sang... Elle le savait... Elle savait combien j'avais terriblement soif... Que même lorsque je me nourrissais de mes proies, que ce soit vampires, sirènes, lycans ou même sorciers, rien ne savait combler ma appétit insatiable et que même ce petit sac d'à peine 3 litres ne saurait appaisé... Cadeau assez rare vu qu'elle adore me garder en carence constante... Prétextant que de me garder ainsi accentuait mes sens, me rendait plus déterminé.e, plus agressif.ve. Ce qu'elle ne disait pas, et qui était évident, c'était aussi le meilleur moyen pour me garder sous son contrôle et faire de moi ce qu'elle voulait... Poursuivant ce cycle infini de famine... et malgré cela je me devais de lui exprimer :

« Tous mes remerciements mère. Je suis fatigué.e, je vais dans mes cartiers, que personne ne me dérange.

Disais-je d'une voix ferme, bien que morne... Je devrais pourtant m'y résigner depuis tout ce temps. Que je le veuille ou non, elle pourrait m'envoyer des envahisseurs afin d'affiner davantage mes talent d'assassinat. Des envahisseurs Autres qu'elle avait capturé bien sûr, tout en prenant les plus grands soins de les rendre complétement fous... Cependant, elle ne m'avait pas laissé partir, pas encore.

« Difficile de croire en tes remerciements lorsqu'ils sont livrés de manière si froide mon petit monstre...

Décidément... C'est de reculons qu'il fallait que je la salue d'une bise forgée d'une hypocrisie bien opprimé comme elle les aimes! Elle me libéra enfin, me souhaitant la bonne nuit avec cet ignoble sourire... Ma génitrice manque certainement de subtilité... À mes cartiers, je fermais ma porte à double tours. De retour dans ma cage semi-salvatrice, je me dévêtis faisant mon chemin jusqu'à la prochaine porte. Pourquoi devrais-je me soucier de fenêtres emmurés après tout? Arriver à la salle de bain, en attente que l'eau chaude du bain s'écoule, une nouvelle glace me montra cette fois ce que je maudissais le plus... Mon corps. Je dévisageais ce visage que certains oserait décrire comme magnifique. Des traits doux, trop doux pour l'âme corrompue qu'ils devaient abriter. Des épaules bien carrées quoi qu'à peine plus larges que mes larges hanches bien arrondies, une taille affinée pour lier le tout. Bien que je tentais en vain de cacher mon corps dénudé de mes maigres bras, on pouvait compter mes côtes et apercevoir un pubis qui ne ressemblait à rien. Pourtant, beaucoup semblent s'y intéresser pour me faire pencher définitivement cette balance parfaite entre féminité et mascunalité. Ce qu'ils ne savent pas, c'est que même cette partie de mon corps maintient cette interrogation plutôt que de la clarifier. J'échappe un long soupire, on s'en fiche après tout, les humains comme les Autres pouvaient bien voir ce qu'ils voulaient de moi... Tant que je peux me déguiser en appât parfait, ma véritable identité ne comptait pas.

Après m'avoir baigné.e une longue heure, me débarrassant de tout ce sang et revêtu.e, j'ouvrais les portes du haut de mon perchoir pour regarder la mer bretonne. Sentant la douce brise d'iode caresser mes mèches blondes ondulées éclairées par la lumière de la pleine lune. Une brise si douce qu'elle me donnait envie de chanter. Je détestais chanter, car j'utilisais ce talent également pour mes chasses, mais là tout de suite, c'était mon seul moyen de me sentir libéré du poids qu'est mon désespoir. Espérant toujours que quelqu'un me réponde au loin à l'horizon... Une sirène très certainement. Nos voix se ressemblent beaucoup elles et moi. Même si mon chant était une imposture parfaite.

Purifié.e et allégé.e d'un poids, je m'allongeais sur mon canapé buvant avec peu d'enthousiasme ma maigre récompense. Parfois, je regardais le plafond, qui me transportais dans mes pensées, qui me rappellerait un rêve qui ne me donnait qu'un espoir de trop à anéantir. Rêvant toujours de vivre autre chose que cette horrible vie... Réveille-toi enfin, Eden, un rêve si beau n'arrivera jamais, ce cauchemar sera à toujours ta réalité... Au même moment, un rugissement me rappellerait ce dont je ne devais jamais oublier. Montre-toi sale vermine qu'on en finisse! Du conduit d'aération tomba un cabot dans ma chambre... Non, pas qu'un simple cabot, un lycan... La vue de ces canidés me glaçais toujours aussi bien le sang! Mais je ne pouvais pas me laisser figer par la peur, non! Je devais transformer cette peur en tuerie! Ma chambre était truffée d'armes qui étaient tous à porter de mains peu importe ou je me trouvais! J'en sortis une de mon oreiller et tirai quelques coups avant que la bête me bondisse dessus malgré la douleur que je lui aie infligée! Ses crocs auraient pu me déchiqueter si je ne lui avais pas tordu le cou de d'une rapidité et dextérité d'expert.e... J'aurais pu choisir l'épée, le couteau, même un sniper aussi (quoi que pas dans ce contexte-ci), mais je ne préférais pas me salir de nouveau pour un test aussi futile.

Je pus jeter le corps à la mer avant de m'enfermer dans mon véritable sanctuaire : mon cercueil. Si je ne pouvais rêver de liberté alors il m'était toujours possible de rêver de dormir profondément pendant 10 ans, 100 ans, ou bien de ne plus jamais me réveiller... Difficile de réaliser un tel souhait, ou même simplement demander une bonne nuit de sommeil réparateur lorsqu'on est affamé comme le vampire sous-alimenté que je suis...

Timide, comme l'enfant que j'étais, jamais je ne m'aurais cru.e capable de raconté mon histoire moi-même. Mais, nous-y voilà...

Mon enfance qui me paraît de plus en plus floue avec le temps, je ne me souviens que de mes huit ans, possédé.e d'une terreur sans nom ayant oublié.e ce qui s'était passer avant cet âge-là. Je me souviens d'un homme qui caressait doucement mes épaules, me rassurant que tout irait bien maintenant, je n'avais plus rien à craindre. Huit autres années s'écoulèrent depuis. Je me souviens encore de sa gentillesse, de sa patience, de sa persévérance et surtout de son amour inconditionnel qu'il avait pour moi, même si je n'ai jamais compris pourquoi il m'avait aimé à ce point. Bizarrement, il n'était pas le seul à aimer un monstre comme moi. S'il connaissait la condition de mon corps, les autres que je vais mentionner l'ignoraient.

Reculer de tout, dans une chaumière perdue dans les bois, nous vivions en ermites... Ou presque. Je me souviens de nos voisins que mon oncle guérissaient de temps à autres. Une famille de bûcherons. Un père, une mère, tous deux aimants. Ils avaient trois fils et une fille, bien que celle-ci agissait comme ses frères, mais nous sommes tous devenus amis. Je ne comprenais pas... J'ai toujours pensé.e que je ne le méritais pas et pourtant, j'en étais très reconnaissant.e.

Cette enfance semi-nébuleuse, qui fut comme un beau rêve, se transforma bien vite en cauchemar perpétuel. Puis un soir, mon oncle devait sortir comme il lui arrivait souvent. Mon oncle, qui était pour moi comme un père, me disait souvent de ne pas sortir et de ne laisser personne entrer quoi que je puisse entendre. Ce soir n'était pas différent des autres... Sauf que ce soir-là, bien que je l'aie écouter, l'envahisseur est tout de même entré! Je me suis caché.e. J'apercevais de la fissure de ma cachette une femme que je n'avais jamais vue, mais qui j'avais l'impression de la connaître, ce qui me glaçait le sang davantage... Du moins, elle et ses chiens si terrifiants!

Elle semblait chercher quelque chose mettant le bureau de mon parrain sans dessus dessous. Ordonnant à ses chiens de trouver quelque chose... Elle semblait parler d'une espèce de... Remède? Mon oncle m'a bien parlé que depuis des années, il travaillait dure sur un médicament. Un médicament qu'il décrivait comme de la plus haute importance et d'y avoir consacré tout son être.

Perdu dans ma réflexion, je fus vite ramené à la réalité quand un chien jappa devant ma cachette qu'il avait trouvée. Elle s'approcha et me trouva à son tour.

« Tiens donc?! C'est donc là que tu te cachais depuis huit ans... C'était avec mon frère que tu étais depuis tout ce temps?...

J'étais d'autant plus terrorisé.e et confus.e qu'avant... Que voulait-elle dire?! Elle ne pouvait pas être–

« Eh bien qu'est-ce qui te prends petit monstre? On est incapable de reconnaître sa propre mère?

Impossible! Elle n'était pas comme la mère de ma meilleure amie! Elle n'avait rien d'une mère! Tout au plus une marâtre même si je ne me souviens plus pourquoi exactement... Ce qui me reviendra assez tôt... Je devais m'enfuir... M'échapper de cette horrible femme... D'elle et de ses sales cabots puants... Je ne sais comment, mais j'ai été emportées par mes jambes évitant de me faire capturer de façon presque miraculeuse. Durant ma course, les réponses se dessinaient peu à peu dans ma tête, j'avais oublié mes premières années, car je vivais avec elle. Ce qui a nourri ma détermination de la fuir le plus rapidement que mes jambes d'adolescent.e pouvaient me porter. Cependant, comment aurais-je pu oublier quelqu'un comme elle? Peut-être que mon oncle y était pour quelques chose? Mais comment?! Plus de questions que de réponses se formaient dans ma tête finalement, alors que je coursais comme si ma vie en dépendait. Enragée, elle m'envoya ses chiens me pourchasser, je m'enfonçais toujours plus loin dans ces bois. Si j'avais su échapper à ces bêtes une fois, cela n'arriva pas une deuxième fois. Ils m'attaquèrent et me capturèrent j'eut si peur et si mal de leurs crocs qui me dévoraient ma chaire que j'en perdis connaissance.

À mon réveil, j'aurais pensé.e me réveiller en sueur dans ma confortable petite chaumière... Ce fut tout autre, je me réveillai alors dans une cellule... Le cauchemar ne faisait que continuer, jusqu'à ce que j'acceptais enfin au bout de plusieurs années que ceci était ma réalité désormais... Je fus entraîné.e de manière acharné afin de devenir chasseur.se. Alors que jamais je n'aurais désiré verser du sang. Jamais. Pas même une seule goûte, ce n'était pas dans ma nature autrefois si fragile... Et pourtant, lorsque je désobéissais, j'étais puni.e. Lorsque je fuguais, j'étais puni.e. Peu importe les façons que je m'y prenais, j'étais puni.e. Elle était si déterminée à me briser qu'elle me disait que mon oncle m'avait abandonné. C'était une menteuse, jamais il m'aurait abandonné, sauf s'il était mort... Son sourire machiavélique en réponse à ma réaction, me dit qu'elle y était forcément pour quelque chose! Donc, d'une certaine façon, je devais me résigner d'admettre qu'elle avait raison en quelque sorte... Mon parrain m'avait abandonné, mais pas parce que c'était ce qu'il souhaitait! Alors, aussi bien le faire aussi dégoûté.e, brisé.e et retourné.e que j'étais. Même si je m'enfuyais, désormais, je n'avais plus nul part ou aller...

Plus tard, lors de mes premières missions, je fus tué.e par un vampire... J'aurais pensé.e à ce moment-là que tout serait enfin fini... Que plus jamais je retournerai à cette vie d'horreurs... Hélas, je revins à la vie! Si déjà, je n'étais pas un monstre, maintenant, c'était une certitude que j'en suis devenu.e un.e. Car je ne m'étais pas réveillé.e en tant qu'humain, mais en tant que vampire. Par ma transformation et en les espionnants, j'avais su que le conseil de Lumini Templars s'entendait pour dire qu'il fallait me supprimer... Ces horribles humains... Ignoraient-ils combien j'aurais tant aimé.e obtenir leur sentence plutôt que celle que je subirais les décennies à venir? Mais comme toujours dans ma vie, il faut toujours que ce soit autrement... En cette réunion, ma génitrice, membre illustre de leur conseil, suggéra autre chose : de me garder en vie et m'utiliser à leurs fins au nom de l'humanité... Depuis, je chasse, je traque sans relâche, même si je suis épuisé, même si je suis affamé, je ne peux pas m'arrêter, car cette conasse fera tout pour que j'évite mon trépas. Le plus frustrant, je crois, c'est qu'elle n'est plus toute jeune et pourtant elle continuait d'avoir cette emprise de fer sur moi... Certains à ma place rêveraient du jour où ils planteraient leurs crocs dans sa gorge et la tueraient, mais ce serait une grave erreur... Je rêve seulement de me libérer d'elle, bien que de la faire souffrir au passage sera de mise. Une souffrance digne de toutes ces années, à me pourrir la vie, trop souvent elle était tristement prévisible, mais sa triste absence de créativité à sut nourrir la mienne... Hélas un rêve ne reste qu'un rêve, n'est-ce pas?

⚨ Iel trouve que les rumeurs du commun des vampires sur le ''sang de vierge'' étant le sang le plus exquis de tous est un mythe de très mauvais goût.

⚨ Notre vampire à toutefois une préférence sanguine : le O qui semble de saveur salé pour lui. Le groupe sanguin qu'iel aime le moins est le B, car selon iel, c'est un sang trop sucré. Pour les A iel constate qu'ils sont amers, l'AB qu'il est de saveur acidulé. La RH + n'a pas particulièrement de particularité, mais la RH - lui semble épicé. La RH nulle est une saveur inconnue, mais très rare et mystérieuse.

⚨ Comme tout vampire qui se respectent, iel a lui aussi des facultés d'hypnoses, de suggestions, de manipulations, de séductions qu'iel peut mettre en œuvre entre autre grâce à sa voix. Son chant envoutant se compare facilement aux sirènes même étant un vampire. On dit que son chant angélique exprimait une profonde tristesse à en faire émouvoir des cœurs jusqu'aux larmes.

⚨ Lumini Templars est une organisation de chasseurs marginaux suprémacistes pour lequel Eden est leur prisonnié.ère. Ils ne sont en aucun cas affiliés à INVICTUS. Ils perçoivent INVICTUS comme la honte de l'humanité et se donne le devoir de supprimé tous ces monstres et démons que sont les Autres! Eden étant une exception, car quoi de mieux pour traquer un Autre qu'en utilisant un Autre peu importe sa race.

⚨ Iel à eut des entraînements spartiates et à étudier plusieurs espèces d'Autres, de styles d'arts martiaux, de combats à mains nus et sait maîtrisé à la perfection plusieurs armes blanches et même les armes à feu lui permettant de s'adapter pour chaque cibles qu'iel se doit d'éliminer. Sa force et sa vitesse surhumaine font de lui un adversaire redoutable!

⚨ Le vampire est affamé en semi-permanence. Juste assez pour être encore capable d'utiliser ses capacités surhumaines, mais pas plus. Iel a, ainsi donc, une très bonne tolérance de la faim, même s'il arrive encore de perdre le contrôle si son sentiment de famine est trop grand. Sa génitrice pense qu'en l'affamant ainsi, cela le rendrait plus apte à traquer les Autres.

⚨ Étant en carence, il est difficile de trouver un sommeil réparateur. De plus, ses capacités d'autoguérison sont presque aussi lentes que celles d'un humain.

⚨ Ses meilleurs sens sont ceux du goût et de l'odorat. Au point qu'ils sont terriblement sensibles et tolèrent très peu les mauvaises odeurs pouvant facilement faire retourner son estomac.

⚨ Eden à plusieurs peurs et phobies et celle des chiens est bien ancré en lui. Les chiens le détestent tout autant et souvent, ils lui montreront les crocs, grognent et parfois passeront à l'attaque.

⚨ Si le vampire daignait ouvrir son cœur fermé à double tours, il est plus qu'évident qu'iel n'avait en rien l'âme d'un tueur sanguinaire, tout le contraire! Bien qu'iel souhaiterait se venger de cette marâtre, plus que tout iel désir d'être libéré de sa prison qu'est Lumini Templars.

Humains :

N'ayant que sa mère et les membres de l'ordre pour exemple (à l'exception de son oncle), il ne peut que détester les humains de tout son être. Même si son devoir est de les protégés.

Sorciers :

Ils ne sont pas bien différents des humains à ses yeux, ils sont, voir, plus arrogants, car si l'esprit des humains se laissent corrompres si facilement sans pouvoirs, les sorciers ne pouvaient qu'être pires!

Vampires :

Vu les regards honteux et les rires moqueurs qu'iel se prendrait s'ils savaient qu'il y a un vampire tenu fermement en laisse par une simple et faible humaine... Sont-ils, alors si différent de ses persécuteurs face à leur sentiment de supériorité?

Loups-garous :

Iel est dégoûté à l'idée d'être souvent comparer à ces toutous monstrueux. Sans parler qu'iel est terrifier par les chiens, en ce sens, les lycans ne sont pas mieux, cette peur est cependant transformer en hostilité.

Sirènes :

Des proies faciles, pour les sirènes a qui une oreille attentive était manquante ou qui sont profondément naïves. Son chant trompeur est souvent la dernière chanson qu'elles entenderont avant de réaliser en horreur qu'il s'agit là d'un piège chanter par une imposture.

Esprits :

Les pires proies à chasser! Vu leur imprévisibilité et le peu de connaissances qu'ont les chasseurs sur les esprits. Il est si difficile et tout particulièrement dangereux d'exterminés ces Autres à l'aveuglette tentant tant bien que mal de cernés leurs faiblesses. Il fallait les traquer avec une prudence sans failles. Sans parler qu'ils n'avaient strictement rien à offrir nutritivement parlant! Avec les autres types d'Autres iel pouvaient au moins en profité pour s'en nourrir un peu.